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10 novembre 2018 6 10 /11 /novembre /2018 11:50

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3 avril 2018 2 03 /04 /avril /2018 12:22

Vous voulez faire pousser plus de tomates, plus grosses et meilleures au goût ? Que vous soyez débutant dans le potager ou passé maître dans l'art de jardiner, nos astuces pour cultiver des tomates vont vous aider à augmenter votre rendement et produire des tomates bien meilleures en goût. Les conseils que l'on trouve sur les paquets de graines ou les étiquettes des plants vous indiquent comment les planter, mais ils ne vous disent pas comment prendre soin d'eux correctement. Pas plus qu'ils ne vous donnent les conseils qui ont été découverts par les jardiniers expérimentés depuis des décennies.

Beaucoup de jardiniers cherchent des astuces pour la culture des tomates parce que leurs pieds ne produisent pas autant qu'ils souhaiteraient. En règle générale, le principal problème est que les techniques de culture utilisées ne sont pas adaptées. Heureusement, voici 13 astuces qui vont vous aider à faire pousser plus de tomates, de plus grosses tailles et meilleurs au goût en un rien de temps !

Lors de la plantation des pieds de tomates, mettez-les aussi profond que vous pouvez sans que les feuilles ne touchent le sol. En enterrant la plante profondément, la tige aura plus de contact avec le sol et produira plus de racines. De meilleures racines contribuent à augmenter la teneur en humidité. Le pied a ainsi plus de racines pour puiser de l'eau. Le système racinaire permet également à la plante "de s'ancrer" dans le sol. Cela l'empêche de plier et d'être endommagé par des tempêtes ou des vents violents.

2. Taillez les feuilles du bas pour favoriser la croissance et prévenir les maladies.

Une fois que vos plants sont bien établis en terre, enlevez les feuilles inférieures pour augmenter la croissance vers le haut. Les feuilles inférieures sont inutiles car elles ne captent pas le soleil et ne font pas assez de photosynthèse. C'est pourquoi il faut privilégier les feuilles supérieures qui ne tarderont pas à prendre le dessus sur les autres. Quand votre plant atteint environ 60 cm de haut, enlevez toutes les feuilles de la moitié inférieure de la plante. Utilisez un sécateur pour éviter d'endommager la tige. La suppression de ces feuilles permettra également d'éviter les maladies venant du sol et remontant par les feuilles.

3. Supprimez les "Gourmands" pour produire plus de tomates

 

S/suite......: Découvrez l'astuce ici https://www.comment-economiser.fr/ 13-astuces-pour-faire-pousser-plus-de-tomates-plus-grosses.html

 

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22 mars 2018 4 22 /03 /mars /2018 13:40

 

Il faut d’abord réunir les conditions d’une compétition politique saine.» C’est la réponse des principaux partis de l’opposition au chef de l’Etat qui a appelé, dans son message à l’occasion du 19 mars, à «une confrontation des programmes dans la course au pouvoir». «(…) la scène politique doit connaître une diversité, une confrontation de programmes et une course au pouvoir», avait écrit le président Bouteflika dans son appel, lu en son nom par le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni.

Cet appel, traduit, selon le président de Jil Jadid, Soufiane Djilali, «l’inquiétude du pouvoir qui craint un boycott massif du 5e mandat de la part de l’opposition». «Le pouvoir a besoin de lièvres pour la prochaine élection présidentielle. Il lance ainsi un appât pour amener les acteurs politiques crédibles à se découvrir et légitimer l’anticonstitutionnel 5e mandat», estime-t-il.

Le climat politique actuel ne favorise pas, selon des responsables de parti, la mise en place d’une vie politique où toutes les forces auront les mêmes chances. «Comment parler de confrontation de programmes lorsqu’il n’y a pas d’instance indépendante de gestion des élections, lorsque les partis de l’opposition n’ont pas d’accès aux médias lourds publiques ?» interroge Faycel Hardi, responsable du parti Talaie El Hourriyet.

 

Ce dernier rappelle «l’interdiction de plusieurs partis politiques et les pressions exercées sur le mouvement associatif et syndical». «La solution pour remédier à cette situation passe, comme nous l’avons affirmé, par un dialogue sérieux entre le pouvoir et l’opposition», souligne notre interlocuteur.

Yacine Aissiouene, chargé de communication du RCD, abonde dans le même sens. «L’instance indépendante de gestion des élections est une demande de l’ensemble des partis de l’opposition. Elle est indispensable pour une compétition électorale équitable», indique-t-il. Selon lui, «il a y un déphasage entre le discours des tenants du pouvoir et la réalité du terrain». «On ne peut pas parler de programmes et de compétition, alors qu’il y a un verrouillage sur tous les plans.

Les médias ne s’ouvrent pas sur l’opposition et le champ des libertés se rétrécit. Les médecins, les enseignants, les syndicalistes sont tabassés et maltraités», dénonce-t-il.

Même vision chez le FFS qui relève, selon son chargé de communication, Hassen Ferli, l’énorme «décalage entre le discours et les actes». «Les conditions n’ont jamais été réunies pour qu’il y ait une compétition politique loyale. Le régime ne respecte même pas ses propres lois concernant, notamment, le respect des libertés», souligne-t-il.

De son côté, le Parti des travailleurs (PT) réclame carrément un «renouveau politique et institutionnel» comme une condition sine qua non pour une course politique idoine. «Comme nous l’avons précisé dans notre lettre adressée au chef de l’Etat lui-même, les institutions actuelles sont obsolètes.

 

Le Président avait initié, en 2012, des réformes politiques qui ont été vidées de leurs contenus par les députés de la majorité. Il faut alors redonner la parole au peuple et aller vers une Assemblée constituante qui permettra d’enclencher un renouveau politique, sans lequel les horizons resteront bouchés», affirme Ramdane Tazibt, député du PT. Rappelant que les scrutins organisés en 2017 ont été «marqués par une abstention massive, une connexion sans précédent entre l’argent sale et la politique ainsi que par la fraude», le cadre du PT appelle à «une rupture pacifique avec l’ordre politique actuel».
 

Madjid Makedhi

S/ http://www.elwatan.com/actualite/l-opposition-doute-de-la-bonne-foi-de-bouteflika-21-03-2018-364797_109.php

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14 mars 2018 3 14 /03 /mars /2018 22:32

Vanité (1644) de Philippe de Champaigne, exposée au musée de Tessé au Mans. DR.

Par Achille Mbembe, historien et philosophe

Une nouvelle conscience planétaire émerge, qui se joue des appartenances et des frontières. Il est temps d’inventer une démocratie pour notre temps, estime Achille Mbembe, historien et philosophe.

Il n’y a pas longtemps, l’on prétendait délimiter avec plus ou moins de précision la frontière entre ici et ailleurs. Aujourd’hui, un tel exercice est futile. La frontière tend désormais à se distendre, sinon à se dissoudre. Inexorablement. En effet, nonobstant les nationalismes, il n’y a jamais eu qu’un seul monde. Qu’on le veuille ou non, nous en sommes tous des ayants droit. Les temps n’ont donc jamais été aussi propices pour redéfinir les paramètres de ce qui nous est commun en cet âge planétaire.

L’humanité a en commun le fait qu’il n’y a pas de monde, de société ou de communauté dont le fondement ne trouve son origine dans une idée ou une autre de la dette. Sauf à prétendre au divin, nous ne nous auto-engendrons point. Ce sont d’autres que nous qui, toujours, nous ouvrent à la vie. Nous ne leur devons pas seulement notre naissance, mais aussi la langue, les institutions fondamentales, divers héritages et richesses immatérielles, à la fois incalculables et non remboursables, dont nous ne sommes pas les auteurs premiers.

Cette forme originaire de la dette nous place dans l’obligation de léguer à ceux et celles qui viennent après nous un monde autrement possible. Elle est évidemment différente de la dette expropriatrice qui, sous sa forme marchande, obère de nos jours les conditions de reproduction ou même de survie de millions de femmes et d’hommes.

Par ailleurs, le propre de l’humanité, c’est le fait que nous sommes appelés à vivre exposés les uns aux autres, et non enfermés dans des cultures et des identités. Mais tel est aussi le cours que prend désormais notre histoire avec d’autres espèces sur cette Terre. Vivre exposés les uns aux autres suppose de reconnaître qu’une part de qui nous sommes devenus trouve son origine dans ce que la philosophe Judith Butler appelle notre vulnérabilité. Celle-ci doit être vécue et entendue comme appel à tisser des solidarités et non à se forger des ennemis.

En vérité, ce que l’on appelle l’identité n’est pas essentiel. Nous sommes tous des passants. Alors qu’émerge lentement une nouvelle conscience planétaire, la réalité d’une communauté objective de destin devrait l’emporter sur le culte de la différence.

Forces obscures et perverses

Malheureusement, le propre du moment néolibéral est de libérer toutes sortes de forces obscures et perverses que l’on était plus ou moins parvenu sinon à dompter, du moins à reléguer dans le domaine des tabous dans un passé pas très lointain. Tel est le cas du racisme, mais aussi de toutes les pulsions autoritaires dont il faut répéter qu’elles n’épargnent pas les démocraties libérales.

On ne l’a pas suffisamment fait ressortir, mais à la racine du racisme propre aux sociétés prises dans les rets du néolibéralisme se trouve la difficulté de jouir. Cela étant, les pulsions racistes sont ­devenues des pulsions de type libidinal.

Pour fonctionner, le racisme a besoin de la fiction selon laquelle il y aurait des corps purs, des cultures pures, du sang pur. Or, il n’existe aucun corps humain qui soit pur, diaphane. En matière de corps, de religion, de culture ou de sang, le blanc n’existe tout simplement pas. Tous les corps sont gris ocre et obscurs. Et c’est ce qui fait d’eux des corps vivants et humains, et à ce titre poreux, ouverts sur ce qui les fait vivre, sur la chair du monde.

Pour donner une nouvelle chance à la démocratie, il faudra d’une façon ou d’une autre imposer des limites au processus de financiarisation de l’existence et faire échec aux formes nouvelles de la guerre, qu’il s’agisse des guerres d’agression, d’occupation ou de pillage propres à notre époque. Il faudra d’autre part réinventer les termes de la représentation de manière telle que toutes les voix soient entendues et effectivement comptées. Si au fondement de la démocratie se trouve le principe de l’égalité, alors il faut reconnaître qu’un certain seuil d’inégalité sociale met en péril l’idée même de la démocratie.

CETTE DÉMOCRATIE DES VIVANTS APPELLE UN APPROFONDISSEMENT NON DANS LE SENS DE L’UNIVERSEL, MAIS DANS CELUI DE L’« EN-COMMUN »

Pour le reste, notre monde est un monde fini, qui a des limites et par conséquent n’est pas extensible à l’infini. Les humains n’en sont ni les seuls habitants ni les seuls ayants droit. Ils ne sauraient dès lors exercer sur ce monde une souveraineté illimitée. Cela étant, la véritable démocratie ne saurait être que celle des vivants dans leur ensemble.

Cette démocratie des vivants appelle un approfondissement non dans le sens de l’universel, mais dans celui de l’« en-commun », et donc dans un pacte de soin – le soin de la planète, le soin apporté à tous les habitants du monde, humains et autres qu’humains.

D’autre part, le projet de l’en-commun fait place au passant. Le passant renvoie en dernière instance à ce qui constitue notre condition commune, celle de mortel, en route vers un avenir par définition ouvert. Etre de passage, c’est cela finalement la condition humaine terrestre. Assurer, organiser et gouverner le passage et non instruire de nouvelles fermetures, telle est à mon sens la tâche de la démocratie à l’ère planétaire.

Achille Mbembe, né au Cameroun, enseigne à l’université du Witwatersrand, à Johannesburg, en Afrique du Sud, et a récemment publié Politiques de l’inimitié (La Découverte, 2016).

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8 mars 2018 4 08 /03 /mars /2018 15:47

 

 

La surface mondiale cultivée suivant le mode biologique (certifiée et en conversion) a été estimée à près de 43,7 millions d’hectares fin 2014(1). Elle représentait 0,99 % de l’ensemble du territoire agricole des 172 pays enquêtés.

Près de 2,3 millions d’exploitations agricoles certifiées bio ont été enregistrées en 2014. Dans certains pays, les statistiques ne sont pas disponibles, ce nombre est donc sous-estimé.

87 pays s’étaient dotés d’une réglementation pour l’agriculture biologique en 2015. Elle était en préparation dans 18 autres pays.

Au cours de ces dernières années, les Etats-Unis ont signé plusieurs accords d'équivalence, de même que le Canada. Celui-ci a étendu son accord avec l'Union européenne pour inclure notamment la vinification. L'Union européenne a signé un accord avec la Corée du Sud. Des accords sont en négociation, notamment entre l'Union européenne et des pays d'Amérique Latine.

Source texte: http://www.agencebio.org/sites/default/files/upload/documents/4_Chiffres/BrochureCC/carnet_monde_2016.pdf

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1 mars 2018 4 01 /03 /mars /2018 17:09

 

à l’invitation de l’association des journalistes et des correspondants de la wilaya de Bejaia (AJCB), le pédagogue Ahmed Tessa, auteur de quatre ouvrages sur l’éducation et ex conseiller au ministère de l’Education nationale, a animé, dans l’après-midi d’avant-hier, mardi, à la maison de la Culture de Bejaia, une conférence-débat sur le thème « l’école algérienne entre modernité et fatalité de l’archaïsme.» D’emblée, le conférencier compare l’école algérienne actuelle aux entreprises économiques publiques de fin des années 80 où, suite à des grèves à répétition de longues durées, ces entreprises jadis rentables ont perdu leurs clients et sont devenues subitement déficitaires au point de ne plus assurer les salaires des travailleurs. L’Etat a fini par les brader presque au dinar symbolique. Les opérateurs privés qui ont acquis ces entreprises pour une bouchée de pain se sont tout de suite mis à licencier parfois plus de la moitié du personnel pour les rendre à nouveau rentables. L’école algérienne qui a commencé sa dégringolade dans les années 80 et 90 risque de connaitre le même sort. Les élèves et les enseignants risquent de trouver un jour au portail d’entrée de l’établissement, non pas un proviseur ou un directeur, mais un patron avec un fouet à la main. « Et ce jour n’est pas loin », dramatise un tantinet l’orateur pour attirer l’attention de son auditoire. Le conférencier impute l’origine de cet archaïsme à l’orientation politique de l’éducation en 1962 et au système colonial maintenu dans ce qu’il a de plus mauvais qui s’est ajouté aux choix pédagogiques décidés. Que faire alors ? s’interroge l’intervenant. L’antidote, prescrit-il, serait d’appliquer les normes internationales en matière de gestion pédagogique d’une école concernant notamment le recrutement du personnel, la formation de ce personnel, les programmes, les méthodes d’enseignement et l’évaluation. Une réforme du système éducatif a été initiée en 2003 mais, comme aucune mesure concrète n’a été prise, l’école a continué à naviguer à vue jusqu’en 2015 où une conférence nationale sur l’éducation a été organisée à Alger. Des recommandations pour une école algérienne de qualité ont été formulées. Mais ceux qui ont pour mission de tirer l’école algérienne vers le bas, les partisans de l’arabisation à outrance, qui, eux, ont leurs enfants scolarisés à l’étranger ou dans des écoles privées où l’on enseigne surtout Voltaire et Rabelais, ceux-là même qui sont contre la généralisation de la langue tamazight, ont empêché l’application de ces recommandations. Dans son élan, le conférencier a fini par reprocher à la société civile, aux associations, aux syndicats, à la presse et même aux partis politiques de ne pas s’être suffisamment engagés pour contrecarrer les assauts de ces amateurs de l’obscurantisme. 
B Mouhoub.

 

Source / http://www.depechedekabylie.com/evenement/186883-contrecarrer-les-assauts-des-obscurantistes.html

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8 février 2018 4 08 /02 /février /2018 13:18

Mustapha Bouchachi, futur candidat indépendant aux élections présidentielles de 2019 ? C’est le projet sur lequel travaillent de nombreux militants de l’opposition, des activistes indépendants et plusieurs défenseurs des droits de l’homme en Algérie, a appris Algériepart de plusieurs sources concordantes. 

Selon nos informations, des conciliabules sont menés depuis plusieurs semaines à travers le pays pour aboutir à un consensus autour d’une personnalité politique fiable, crédible et qui n’a jamais été mêlée de loin comme de près aux rouages du régime.

Islamistes, laïcs, libéraux ou conservateurs, tout un courant semble se mettre en place pour favoriser la candidature de Mustapha Bouchachi dont le parcours et la personnalité correspondent aux critères fixés par ces militants. Célèbre avocat et ancien président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), entre 2007 et 2012, Mustapha Bouchachi semble faire l’unanimité au sein de ces militants qui veulent lancer une initiative nationale afin de faire du rendez-vous des élections d’avril 2019 un “tournant majeur pour le changement en Algérie”.

Mustapha Bouchachi a été élu comme député du FFS aux élections législatives de 2012, mais il a démissionné avec beaucoup de fracas en mars 2014 rejetant ainsi le fonctionnement maladroit et malhonnête d’un régime politique contre lequel il milite depuis de nombreuses années. Ce parcours et ces faits d’armes font de lui une personnalité qui peut mobiliser et fédérer des forces vives de la société algérienne. Mais Mustapha Bouchachi acceptera-t-il d’aller jusqu’au bout de cette aventure en se portant candidat à l’élection présidentielle de 2019 ? L’avenir nous le dira…

 

Source: https://algeriepart.com/2018/02/08/confidentiel-vers-consensus-autour-de-candidature-de-mustapha-bouchachi-aux-elections-presidentielles-de-2019/

 

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2 octobre 2016 7 02 /10 /octobre /2016 15:04
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26 juin 2016 7 26 /06 /juin /2016 01:14
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19 juin 2016 7 19 /06 /juin /2016 02:19
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8 juin 2016 3 08 /06 /juin /2016 12:23
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7 juin 2016 2 07 /06 /juin /2016 01:09
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